SANCTIONNÉ POUR AVOIR PARLÉ DE LA BIBLE À L'ÉCOLE.

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Cas de prosélytisme, nous dit-on, je dis "sale temps" pour tous ceux qui croient au seul vrai D.ieu, car notre société veut bien de boudha, Allah et autres faux dieux.Ce qu'elle ne veut pas, c'est du D.ieu de la bible, ce grand D.ieu d'Israël qui nous a fait rentrer, nous les gentils, dans sa bienveillance et son plan pour l'humanité....Nos dirigeants, nos intellectuels sont donc en chasse de tout ce qui évoque ce D.ieu tout-puissant, et même dans le cas de cet enseignant agnostique, ils ne veulent vraiment pas de cette évocation!
On entend çà et là nos médias, et ses représentants bien connus, tacler la véracité de ces textes anciens, et tacler cette notion de péché, foncièrement décriée dans notre société libérée et permissive, où le bien s'appelle mal ! Sale temps pour la FOI véritable, sans laquelle pourtant, il est IMPOSSIBLE d'être agréable à D.ieu Hébreux 11.6 !

Je constate que cette détestation va de pair avec celle d'Israël, il va sans dire que nous devenons UN avec cette nation bénie de D.ieu, même si elle n'est pas exempte de critiques....Nous mêmes, en sommes-nous exempts, non, bien sûr, et pourtant D.ieu continue de nous aimer et de nous façonner à son image, afin que ce jour promis arrive, le jour de notre rassemblement avec LUI ❤😇🙏✝

04 octobre 2017

Sanctionné pour avoir parlé de la Bible à l’école

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Dans l’Indre, Matthieu Faucher (photo), professeur des écoles, a été suspendu puis muté d’office. Il est accusé d’avoir « outrepassé la seule étude du fait religieux » avec ses élèves de CM1-CM2.Cette affaire pose une excellente question : est-il permis d'enseigner le fait religieux à l'école publique ? Les textes officiels le recommandent. Qu'en est-il en réalité ?
La sanction subie par Matthieu Faucher vient démontrer que cet enseignement peine encore à trouver sa juste place dans le cadre de l'éducation nationale. Pourtant, comment comprendre l'environnement qui nous entoure si l'on n'a pas un minimum de culture religieuse ?
Retour sur cette histoire étonnante.L'article qui suit a été publié dans Ouest-France, le 30 septembre. Rentrée au goût amer pour Matthieu Faucher. Lui qui espérait retrouver sa classe, à Malicornay, dans l’Indre, assure désormais des remplacements. La « sanction disciplinaire » est tombée le 2 juin : « Déplacement d’office ».L’Éducation nationale reproche à l’enseignant d’avoir « exploité des sources religieuses inadaptées à l’âge de ses élèves et contraires aux principes de laïcité et de neutralité ». « L’étude répétée de textes directement issus de la Bible […] outrepasse la seule étude du fait religieux », précise le courrier signé du directeur académique Pierre-François Gachet.Tout est parti d’une lettre anonyme adressée à l’inspecteur de l’Éducation nationale, le 30 janvier 2017. Des parents et grands-parents d’enfants scolarisés à Malicornay dénoncent un « cas de prosélythisme (sic) religieux ».Matthieu Faucher a notamment fait étudier à ses élèves de CM1-CM2 des passages du livre de l’Exode, des Évangiles et projeté des extraits du film L’Évangile selon saint Matthieu de Pasolini et du dessin animé Le Prince d’Égypte. Au total, 6 heures et demie de cours qui rentrent a priori dans le cadre de l’enseignement du fait religieux, autorisé par les textes.L’instituteur subit une inspection inopinée le 1er février. Après un entretien qu’il qualifie de « constructif et bienveillant », il pense avoir balayé l’accusation de « prosélytisme ».Mais la machine est lancée. Convoqué, le 3 février, par l’inspecteur académique, il est suspendu « à titre conservatoire ». Une mesure qui sera prolongée jusqu’à la fin de l’année scolaire, « le temps de l’enquête administrative ».Après son passage en commission disciplinaire, le 29 mai, le couperet tombe : déplacement d’office.Excessif ? Ce n’est pas l’avis du directeur académique. « La réalité des faits a été établie. Ils sont constitutifs d’une faute professionnelle par rapport à la réglementation, à la déontologie et aux pratiques en usage dans la Fonction publique. La sanction est une sanction de bas niveau qui n’est pas de nature à porter préjudice à la carrière de M. Faucher et sans conséquence sur sa rémunération. La sanction est juste et équitable », assure Pierre-François Gachet.L’instituteur âgé de 37 ans, dont 16 années d’enseignement « sans histoire », admet l’inspecteur, est très apprécié à Malicornay. Matthieu Faucher bénéfice du soutien appuyé du maire du village et des parents d’élèves qui ont manifesté, le 29 mars, devant l’inspection académique, pour réclamer son retour.Mais rien n’y fait. L’enseignant a donc intenté deux recours. L’un auprès du nouveau ministre de l’Éducation nationale pour dénoncer une procédure qu’il estime « injuste et anormale ». L’autre auprès du tribunal administratif de Limoges pour casser la sanction.L’avocat de Matthieu Faucher, Me Mongis, conteste le principe de la sanction et la sanction elle-même. Cette affaire, une « première », selon lui, tient davantage de « l’idéologie » et relève d’une confusion entre « laïcité » et « athéisme ».Cette affaire pose, selon l’enseignant, deux problèmes : l’abus hiérarchique et la possibilité, ou non, d’enseigner le fait religieux à l’école. « Si je perds, je considérerai que c’est interdit par l’Éducation nationale. »Lui qui se dit « agnostique » s’estime, au contraire, « pleinement dans son rôle » en dispensant un « minimum de culture chrétienne », indispensable pour comprendre notre environnement culturel.Et s’il gagne en justice ? Matthieu Faucher promet de remettre sa cravate, lui qui fait cours à ses élèves en costume, en signe de « respect ».

3 commentaires:

  1. Commentaire de Sandralee Smith : Amen; c'était à la fois un baptême comme exemple pour ceux qui le suivraient; mais aussi la consécration à sa prêtrise, selon l'ordre de Melchizadek, de sorte que, lorsque ce moment sera venu, il pourra entrer dans le tabernacle céleste (sur lequel le tabernacle de Moïse a été modelé), afin de placer son sang sur l'autel pour nos péchés. Seul un grand prêtre était autorisé à entrer dans le lieu très saint du Tabernacle.

    Amen; it was both baptism as an example to those who would follow Him; but also consecration to His priesthood, after the order of Melchizadek, so that when that time came, He could enter the heavenly tabernacle ( on which Moses' tabernacle was modeled), to place His blood on the altar to atone once for all, for our sins. Only an High Priest was permitted to do enter the Tabernacle's most holy place.

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